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Le DEFNET 2015

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Les 23, 24 et 25 mars, les étudiants de 4e année de la majeure Système, Réseaux et Sécurité (SRS) de l'EPITA étaient présents au Centre d'études stratégiques de l'armée de Terre (CESAT) implanté sur le site de l'École militaire à Paris pour participer au DEFNET 2015. Proposé par le ministère de la Défense dans le cadre de la réflexion autour du projet de création d'une réserve de cyberdéfense à vocation opérationnelle (RCVO), cet exercice grandeur nature de cyberdéfense permettait aux EPITéens de travailler en équipe sur la résolution d'une attaque informatique perpétrée contre une entreprise fictive.

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Les étudiants appelés en renfort pour aider MyCompany
L'objectif de DEFNET 2015 est simple : faire un exercice touchant les appareils militaires de l'État - la technologie informatique et numérique militaire - mais aussi les entreprises civiles. Pour cette seconde partie, les étudiants d'écoles de l'enseignement supérieur dont l'EPITA étaient mis à contribution. Ainsi, trois jours durant, près de 45 EPItéens se sont relayés pour tenter de venir en aide à MyCompany, une société fictive nommée MyCompany semblant avoir été touchée par une attaque. Dans ce cadre-là, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (ANSSI) demande l'engagement de ressources supplémentaires pour pouvoir traiter l'ensemble des parties civiles qui sont touchées au même moment. « Chaque journée, une quinzaine d'étudiants de 4e année intervenaient sur le même exercice, détaille Sébastien Bombal, capitaine RC, directeur des opérations Orange Cyberdéfense, responsable de la majeure SRS EPITA et encadrant de l'exercice. Chaque étudiant était en binôme. Ce dernier avait à sa disposition un ordinateur fourni dans le cadre de l'exercice et un environnement complétement virtuel qui représentait le système d'information de MyCompany qui, manifestement, avait eu un problème. Suite à ce "comportement suspicieux", les étudiants devaient, avec leurs codes d'accès et leurs machines, comprendre et vérifier s'il s'était bien passé quelque chose pour, éventuellement, retrouver des traces d'attaque. » Autrement dit : l'enquête était confiée aux étudiants de l'EPITA.

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Sébastien Bombal

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Une étape de tests pour un projet de réserve unique au monde
Cet exercice fait partie de tout un dispositif de travail en amont piloté par l'État-major des Armées (EMA) avec l'aide notamment de la réserve citoyenne de cyberdéfense (RCC), autour du projet de constitution de la RCVO. De nombreux travaux de réflexion préparatoire ont été menés en amont pour en définir son intérêt et sa faisabilité, dont notamment des « laboratoires d'idées » avec les étudiants de l'EPITA organisés par Sébastien Bombal au profit de la RCC lors des Journées de la Cyberdéfense 2013 et 2014 accueillies par l'école. Ce DEFNET 2015 faisait donc figure de test. « L'EMA, avec la Direction générale de l'armement et des prestataires privés, a ainsi mis en place des plateformes de simulation à Paris, à Rennes et encore d'autres endroits pour les parties purement militaires, poursuit Sébastien Bombal. Les étudiants ont ainsi travaillé sur de vrais systèmes d'information virtuels créés pour l'occasion, avec des plateformes Web, des routeurs, des firewalls... Ils peuvent ainsi identifier une agression et la caractériser : dire quand elle est intervenue, comment, si des éléments de compromission (virus, malwares, chevaux de Troie) ont été laissés, si des impacts (vol de données, sabotages, altérations) existent puis faire une synthèse de ce qui a été trouvé. » Un avant-goût de ce qui pourra attendre les futurs membres de cette réserve qui, une fois créée, sera unique au monde.


Un exercice, plusieurs avantages
De ce fait, les 4es années de la majeure SRS se sont retrouvés au cœur d'un projet important alors que, depuis 2011, les cyber-attaques contre l'intérêt national ont quadruplées pour atteindre 780 incidents répertoriés en 2013. Autant dire que cette implication dans le programme DEFNET 2015 présentait de sacrés avantages pour ces étudiants qui, de par leur spécialisation, seront amenés à lutter contre la cybercriminalité une fois entrés dans le monde professionnel. « Il y a plusieurs intérêts à cette participation, juge Sébastien Bombal. Le premier, c'est de proposer un bel exercice, un beau travail pratique sur lequel les étudiants pouvaient s'exercer. Le deuxième, c'est de proposer des conditions de travail différentes aux étudiants. Pour cet exercice, ils ne sont pas à l'école et n'ont pas accès à tous les outils dont ils ont l'habitude : ils sont dans un environnement moins libre, plus cadré, avec une certaine rigueur et un certain enjeu qui, même s'il est fictif, reste important. Le troisième, c'est qu'il s'agit aussi d'un exercice qui peut être très valorisant pour les participants au vu des entités reconnues associées comme l'ANSSI ».

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La rapidité : la principale qualité des EPITéens
Pour le sous-lieutenant Aude, doctorante en droit international public, spécialiste des questions de cyberdéfense et réserviste dans l'Armée de terre au CESAT, le DEFNET est justement plus qu'un simple exercice : « Il n'y a pas encore de réserve opérationnelle de cyberdéfense. Ce genre d'initiative avec les étudiants est donc important parce que c'est chez eux que se trouvent les compétences. On les retrouve bien sûr à l'Armée mais, dans la mesure où il n'y a pas assez de monde, il faut également aller chercher ces compétences ailleurs. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'on décide de devenir réserviste : cela permet à chacun d'apporter ses compétences propres - dans le cas des étudiants, des compétences techniques - pour faire quelque chose d'utile avec et les mettre au service de notre pays ou, dans le cas de l'exercice d'aujourd'hui, au service d'une entreprise à qui nous apportons notre soutien. C'est ce qui motive. » Encadrant de l'exercice, le sous-lieutenant Aude a particulièrement été surprise par « la rapidité » des EPITéens. « C'est bon signe pour la suite car les étudiants représentent le public visé par la future réserve de cyberdéfense à vocation opérationnelle. Quand on est étudiant, on a du temps..., que l'on peut éventuellement consacrer à cette réserve. »

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Le sous-lieutenant Aude (à droite) encadrait les étudiants

« L'État a besoin de personnes compétentes »
Parmi les étudiants s'étant prêtés à ce jeu à part, on retrouve Emmanuel Guet et Thomas Perronin (EPITA promo 2016), deux EPITéens satisfaits d'avoir pu jouer les « cyber réservistes ». « Ce qui m'a plu, c'est qu'il s'agissait d'un exercice portant exclusivement sur la sécurité, explique Emmanuel qui est justement entré à l'EPITA pour rejoindre une spécialité liée à la sécurisation. C'est ce que j'aime faire et c'est le domaine dans lequel je souhaite travailler plus tard. Là, avec DEFNET, c'était intéressant mais surtout concret car ce cas pratique, on peut être amenés à le retrouver dans beaucoup d'entreprises aujourd'hui, pas forcément des grosses, mais des entreprises de taille moyenne ou des sites de type e-commerce. » Pour Thomas, qui souhaite lui aussi travailler dans le domaine de la cybersécurité après l'EPITA, le principal attrait du DEFNET portait également sur l'aspect réaliste de l'exercice : « Ça permet de mettre en place des mécanismes de défense vraiment utiles pour les entreprises : la sécurité aujourd'hui, c'est vraiment quelque chose d'essentiel. » Enfin, même si lui et Emmanuel ne savent pas encore s'ils se porteront volontaires pour intégrer l'éventuelle RCVO, les deux étudiants apprécient tout de même l'initiative. « C'est bien qu'on puisse considérer les étudiants comme des ressources disponibles pour pouvoir aider et défendre ces entreprises », estime Thomas. « L'idée est intéressante en soit car l'État a besoin de personnes compétentes, renchérit Emmanuel. Et comme la cybersécurité reste encore un domaine récent, c'est logique qu'il se tourne vers les étudiants et les jeunes diplômés. »


Jean-François Bénesse (promo 1983), fondateur de Savane Consulting, de retour à l'IPSA

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Le 12 mars 2015, Jean-François Bénesse (IPSA promo 1983), fondateur de Savane Consulting, une société de conseil et de services du numérique qui emploie près de 70 personnes, revenait à l'IPSA pour discuter avec les étudiants de la création d'entreprises dans le cadre de la conférence « Salarié ou Entrepreneur ? ».

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Qu'est-ce que ça fait de revenir à l'IPSA plus de 20 ans après l'avoir quittée ?
Déjà, les locaux ont changé ! C'est quelque chose de nouveau pour moi. Quand j'étais étudiant à l'IPSA, nous étions dans de vieux locaux à Paris, l'ambiance n'était pas la même qu'à Ivry-sur-Seine où se trouve l'école aujourd'hui. Nos locaux étaient plus petits, les moyens aussi...
Après, le fait de revenir et voir des jeunes étudiants qui ont l'âge de mon fils, je trouve ça très sympa. D'ailleurs, je pense que c'est pas mal de garder contact avec les Anciens : dans ma carrière, je me suis justement beaucoup appuyé sur des gens plus vieux qui m'ont aidé. Le fait que plusieurs générations d'IPSAliens restent en contact, c'est très positif. Je suis donc très content d'avoir pu revenir dans le cadre de cette conférence.

Justement, lors de cette conférence, vous avez parlé avec les étudiants d'entrepreneuriat, un sujet auquel on ne pense pas forcément lorsqu'on mentionne les ingénieurs formés par l'école. Pour vous, sortir de l'IPSA et être entrepreneur, c'est donc compatible ?
Complétement. Je pense que l'IPSA m'a permis justement d'acquérir un certain niveau pour pouvoir accomplir plein de choses. Une école d'ingénieurs vous donne de la maturité : vous savez écrire, calculer, raisonner, etc. Moi, par exemple, quand j'ai quitté l'école, je me suis tout de suite lancé dans le métier d'ingénieur commercial dans l'informatique. En fait, il y a deux profils d'étudiants qui vont en sortir : ceux qui vont coller aux métiers de l'école et ceux vont se diriger ailleurs, comme dans le numérique. Ce que je leur ai dit durant la conférence, c'est que, pour ma génération, nous étions tous salariés : on faisait carrière dans une entreprise. Aujourd'hui, ce n'est pas pareil : les étudiants qui sortent de l'IPSA veulent peut-être autre chose. Ils peuvent se dire que l'entrepreneuriat est un moyen de se libérer de ce carcan des grandes sociétés qui font moins rêver. Quand on a 20 ans aujourd'hui, l'entrepreneuriat peut faire rêver. Si j'étais à leur place aujourd'hui, ce sont davantage des Steve Jobs, des Mark Zuckerberg ou des Billes Gates qui me feraient rêver.

Conseillez-vous aux diplômés de goûter d'abord au monde professionnel avant de tenter l'aventure de l'entrepreneuriat ?
Ils le peuvent mais il y a un risque, tout du moins en France. Quand un étudiant de 5e année quitte l'école et rentre dans une grande société, il peut très vite se retrouver « enfermé » dans une catégorie. Par exemple, si vous quittez l'IPSA et devenez ingénieur de bureau d'études dans un grand groupe pour faire de la CAO ou des « trucs » comme CATIA, vous risquez d'être estampillé comme ingénieur CAO au bout de 3-4 ans et il sera très difficile de sortir de cette fonction.
L'IPSA apporte une formation technique pluridisciplinaire intéressante mais je sais par expérience que les gens qui restent dans la technique sont, à un moment donné, ralentis dans leur progression : s'ils veulent passer de la technique au management, ils peuvent le faire sauf que le manager en France n'étant pas un patron, ils ne décideront pas de grand-chose au final. C'est moins excitant. Si une idée titille les futurs diplômés de l'IPSA, ils peuvent s'appuyer sur leur formation pour faire un truc sexy comme l'entrepreneuriat. À 23-25 ans, on peut se lancer, quitte à se planter une fois ou deux. C'est plus logique que de travailler 20 ans pour une société et de se dire « allez, maintenant, je lance ma propre structure ». Beaucoup de gens se disent qu'ils vont lancer une société un jour mais ne le font finalement jamais alors que, quand on a 25 ans, c'est l'âge où on est le plus fort, le plus confiant pour monter son entreprise.

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Forward, end of the rush

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Lancée cette année par Epitech, Forward est une nouvelle étape dans le cursus de l'école à destination des 3es années. Pendant 15 jours, les étudiants commencent à produire les premières amorces (« bootstraps ») de leurs futurs Epitech Innovative Projects (EIP) qu'ils développeront les deux années suivantes. Ces projets ont été présentés dans chacune des 12 écoles à un jury de professionnels qui, dans chaque ville, a désigné les meilleurs. Parmi eux, Safewatch (Paris), un boîtier portable pour mesurer les risques sur les sites industriels et Remot Oculus Controler (Lyon), un simulateur de conduite à distance. En parallèle, des conférences étaient organisées quotidiennement. À Paris, Jean-Baptiste Roger, directeur de La Fonderie, Jérôme Ruskin, fondateur d'Usbek & Rica et Liam Boogar, cofondateur de The Rude Baguette ont été ainsi reçus.

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En mode start-up

Construits en mode "rush" et typiquement selon notre méthode projet, ces bootstraps EIP sont présentés aujourd'hui à un jury de professionnels dans les 12 villes du réseau national Epitech.

En temps réel

Les résultats de chaque ville nous parviennent en ce moment même. Nous en reparlerons dès que nous les aurons tous. En attendant, focus sur quelques-uns d'entre eux.

À Nancy

DataBear (Guillaume Besson, Étienne Bondot, Lucas Brignon, Lucas Chapelot, Vincent Lafargue, Marine Schuler, Victor Thiry, Florent Zajda) est un système d'analyse de données issues de flux Twitter relatifs aux séries, films et émissions télé. Cette analyse peut être effectuée en temps réel ou définie sur une période. Elle permet de fournir des modèles statistiques pertinents à destination des professionnels de l'audiovisuel souhaitant obtenir une vue générale des tendances des téléspectateurs.

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( de gauche à droite et de haut en bas, les groupes Virtual Vectura, DataBear et Come On)

Virtual Vectura (Simon Bohl, Guillaume Devoille, Samuel Henz, Arnaud Letondor, Théau Magnolini Franck Petriz, Jean-BaptisteTar) est un simulateur de conduite ludique et immersif. Grâce au casque de réalité virtuelle, au poste de conduite et à l'assistant audio, on parcoure les différents scénarios qui nous inculquent les notions essentielles de la conduite automobile, dynamisés par des éléments tels que la météo, les piétons ou les automobilistes.

À Rennes

Walletek (Marc Lelabourier, Antoine Guittet, Hadrien Lejard, Thibault Labarre, Pierre-Antoine Oger, Christopher Millon) transforme notre portefeuille en bracelet de paiement sans contact. Nomade et indépendant, il est utilisable chez tous les commerçants. Walletek s'accompagne d'une application mobile permettant la gestion de son portefeuille virtuel et acceptant les transactions d'autres bracelets Walletek. Simple et sécurisée, chaque transaction effectuée est validée grâce à votre empreinte digitale. L'objectif à terme de Walletek est de dématérialiser la totalité de son portefeuille dans un duo smartphone / bracelet connecté.

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(de gauche à droite et de haut en bas, les groupes Voty, ListenGoFast et Walletek)

À Nantes

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Codowl est une plateforme interactive qui permet d'apprendre la programmation grâce à un enseignement basé sur la pratique. L'utilisateur a le choix entre plusieurs projets, découpés en étapes qui lui enseignent différentes notions de programmation. Tout au long du projet, la mascotte Cody lui explique tout ce dont il a besoin.
On oublie les pavés de texte ou les vidéos trop longues, ici tout se fait à l'aide d'animations qui permettent de conserver l'attention de l'utilisateur. Pour les plus expérimentés, des challenges multijoueurs permettent de mettre à l'épreuve leurs connaissances autour de plusieurs enjeux : longueur du code, algorithme le plus rapide... 
Le site est ouvert à tous ceux voulant découvrir la programmation et plus généralement le monde du numérique.

À Lyon

Mehdi Chouag, Flavien David, Antonin Ribeaud, Charly Roche, Thibaut Sabot, Mathieu Chessel, Junior Farabet, Flavien Pensato développent quant à eux EdenBeat. Selon les membres de ce groupe EIP, « dans un secteur dont le modèle économique est en pleine mutation, notre plateforme d'agrégation de contenus musicaux cible à la fois les consommateurs de musique et les créateurs de contenu. EdenBeat propose un moteur de recherche musicale multiplateforme et gratuit, et met à disposition le contenu de plateformes telles que Soundcloud, Youtube, Spotify, Deezer ou encore Grooveshark. Sans oublier la possibilité de créer sa playlist disponible hors connexion. EdenBeat va devenir une "killer app", totalement intégrée dans les réseaux sociaux. Petit plus, tout le contenu est disponible de manière continue : ainsi, vous pourrez reprendre la lecture de votre morceau préféré sur votre mobile exactement là où vous l'aviez laissé sur votre ordinateur... »

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(de gauche à droite et de haut en bas, les groupes RemoteOculusController, MYOCosplay et EdenBeat)

Remote Oculus Controller (ROC), formé de Sylvain Prost, Hector Roussille, Alexandre Moulay, Alexandre Catalano, Chloe Labrot, Alan Lemouroux nous propose de réaliser un rêve d'enfant : téléporter l'utilisateur à l'intérieur d'un robot.
Toutes les Interfaces Hommes Machine (IHM) actuelles étant lourdes et invasives, ce projet vise à emmener l'utilisateur dans le véhicule en simplifiant au maximum l'interface, notamment grâce à l'utilisation de l'Oculus Rift ainsi que d'une technologie de contrôles « touchless ». 
Ce projet définitivement orienté R&D est dores et déjà doté d'un certain nombres de partenariats, et va prouver son utilité dans des contextes d'exploration, comme par exemple en milieu hostile (sécurité civile) de même que dans des contextes de loisirs, telle une visite de lieux de vacances.

À Paris

Heal Yourself a comme objectif de permettre à l'utilisateur de pouvoir réaliser son propre pré-diagnostic via une application mobile. À destination d'un utilisateur adulte prêtant attention à sa santé, ce projet a été lancé par 8 étudiants : Theo Creach, Romain Bonnot, Rodrigue Canquery, Jean-Baptiste Debiasio, Dorian Dubois, William Guezennec, Quentin Longeot et Danyl Semmache. L'idée originelle de Heal Yourself provient directement de la Piscine Moonshot, précisément de la conférence consacrée à l'auto-médication.


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Heal Yourself a participé ce mardi 24 mars à la ​"Battle de Pitchs" ​de l'Impact Day 2015, la journée de l'entrepreneuriat organisée par E​SSEC Venture​, où ils ont reçu le prix du public.
Aujourd'hui, ils ont reçu un des prix "coups de coeur" du jury parisien.
À suivre.

Nouvelle édition de la Semaine Internationale de l'EPITA

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Du 24 au 28 mars 2015, la Semaine Internationale de l'EPITA prenait place sur le campus du Kremlin-Bicêtre. En plus de conférences et d'une International Fair permettant d'en apprendre plus sur les nombreuses universités étrangères partenaires de l'école et de préparer un futur stage ou emploi en dehors de France, les EPITéens de 4e année pouvaient participer à des ateliers culturels et culinaires proposés par les étudiants de la Section Internationale.

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Les rires et les odeurs aguicheuses de plats « exotiques » se mélangeaient ce jeudi 26 mars dans la cour de l'EPITA. Dans le cadre de la Semaine Internationale organisée par l'école pour ses étudiants de 4e année, cette journée était en effet réservée à la mise en place d'ateliers proposant de nombreuses activités et des mets préparés spécialement pour l'occasion. « On a rencontré des étudiants étrangers venus partager leur culture et leurs passions, expliquait ainsi Arnaud Lahalle (EPITA promo 2016) à la sortie d'une séance d'initiation au cricket. C'était très sympa : j'ai pu lancer quelques fois la balle et, même si ça a l'air marrant, ce n'est pas non plus très évident ! Les étudiants Indiens nous ont expliqué les règles : il faut lancer la balle, un batteur doit la récupérer et l'envoyer sur des petits bâtons "plantés" sur le sol. »

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Des conférences pour préparer l'avenir
S'il n'a pas forcément l'étoffe d'un futur champion de cricket, Arnaud ne s'en soucie guère car il était surtout là pour échanger : « Je trouve cette Semaine Internationale très intéressante car elle permet de découvrir de nouvelles cultures et de pouvoir justement discuter avec ces étudiants que ne nous n'avons pas l'habitude de rencontrer tous les jours à l'EPITA. Il y aussi des conférences de personnes qui travaillent ou ont étudié à l'étranger, ce qui représente aussi un bon moyen de recevoir de précieux conseils au cas où on souhaite les imiter. Moi, personnellement, ça me tente : j'aimerais bien partir au Canada pour un stage et, pourquoi pas, travailler là-bas sur le long terme. » Un avis partagé par Raphaël Pennont (EPITA promo 2016) qui, en plus d'avoir participé aux ateliers de spray painting et de calligraphie (« le côté artistique m'attirait »), était également présent pour réfléchir à son avenir. « Partir à l'étranger pour mes études ne me tente pas trop mais cela m'intéresse plus dans le cadre d'un stage ou du travail, confiait-il. Comme j'aimerais bien travailler pour Amazon plus tard, je me suis inscrit à la conférence de Matias Larre Borges (EPITA promo 2009), qui est ‎Software Development Engineer chez eux, aux États-Unis. »

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À la découverte du kabbadi, un sport très populaire en Inde
Le cricket a su attirer de nombreux EPITéens mais un autre sport indien a également fait forte impression auprès des étudiants : le kabbadi. « Il s'agit d'un sport traditionnel qui est très pratiqué en Inde depuis plusieurs centaines d'années, détaillait Prashant Venkateshwaran (EPITA promo 2016), organisateur de cet atelier et étudiant de la Section Internationale - Master Information Systems Management. Le kabbadi est comme un deuxième sport national pour nous, juste après le cricket. D'ailleurs, il n'y a pratiquement qu'en Inde qu'on le pratique. Il voit s'affronter deux équipes, chacune étant composée de 4 à 7 joueurs selon la taille de l'air de jeu. Le but de chaque équipe est de rentrer dans la zone de l'équipe adverse pour toucher un des membres et de réussir à revenir dans son camp pour éliminer le joueur touché. L'équipe qui n'a plus de joueur a perdu. La particularité est que le joueur qui cherche à toucher un adversaire doit toujours répéter "kabbidi" à haute voix. S'il s'arrête de le dire, il est éliminé. »

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Fort succès pour le guacamole et l'houmous
L'Inde n'était pas la seule nation présente ce jour-là à l'EPITA. L'Argentine, la Chine, la Corée du Sud, les États-Unis, la Grèce, le Liban, le Mexique, le Nigéria ou encore le Pakistan étaient également de la partie pour le plus grand plaisir des étudiants et notamment les plus gourmands. Ces derniers ont notamment pu goûter aux plats maison libanais et mexicains respectivement concoctés par Mohamad Noureddine et Daniel Rodriguez (EPITA promo 2016), deux étudiants de la Section Internationale. « Sur mon stand, j'ai décidé de partager un peu de la culture gastronomique mexicaine, annonçait fièrement un Daniel « tombé amoureux de la France » depuis un échange universitaire en 2013. Il y a du guacamole, des quésadillas, des tortillas et de la sauce épicée. J'ai utilisé ma propre recette de guacamole où j'ai mis dedans ce que j'aimais : des tomates, de la coriandre, des oignons, un peu de citron, de la chili powder que j'ai ramenée de Mexico et, bien sûr, de l'avocat. Pour proposer le guacamole et les quésadillas, ça m'a pris environ dix bonnes heures de préparation ! » Habillé avec le vêtement traditionnel libanais pour participer à la présentation du dabkeh, une danse folklorique du Moyen-Orient, Mohamad recevait beaucoup de curieux avec le sourire. « Sur ce stand, deux autres étudiants et moi-même faisons goûter notre cuisine libanaise, à savoir de l'houmous et une salade de taboulé. Ce sont des snacks froids qui, normalement, accompagnent un plat principal. En tout cas, vu le nombre de de gens venant se servir, je pense que c'est un succès et qu'on va vite épuiser la quantité ! »

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Les plats de Daniel ont eu un sacré succès...

epita_semaine_internationale_echange_ateliers_conferences_cultures_voyage_etranger_pays_traditions_sports_arts_cuisine_2015_05.jpg... tout comme ceux de Mohamad (ici à gauche) et ses amis

Le futur sera-t-il collaboratif ?

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Le 26 mars dernier, l'ensemble des étudiants de 4e année des sept campus de l'ISEG Marketing & Communication School était réuni à Paris au cinéma MK2 Bibliothèque pour le Séminaire National 2015.

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Le Futur sera t-il collaboratif ?
Autour de la thématique « Institutions, entreprises, marques, produits, le futur sera-t-il collaboratif ? » sont tout d'abord intervenus Stéphane Hugon puis Asmaa Guedira, respectivement co-fondateur d'Eranos et connector chez OuiShare dans le cadre de conférences sur les transformations sociétales engendrées par la nouvelle dynamique du collaboratif et l'impact social de l'économie collaborative.

C'était ensuite au tour de Véronique Routin, directice du développement de la Fing, de partager son point de vue sur la consommation collabarative et d'exposer le projet, commun à la FIng et Ouishare, de R&D collective aux frontières de l'économie du partage et de la consommation collaborative : ShaREvolution.

Après la pause déjeuner l'école a organisé un café collaboratif. 30 minutes durant lesquelles un étudiant de chaque campus a pu donner sa vision de ce que sera le collaboratif de demain.

Après ce moment d'échanges entre les étudiants, Laure Wagner, fondatrice de BlaBlaCar et Adrien Aumont, co-fondateur de KissKissBankBank sont venus présenter, aux éléves de 4e année, leur entreprise et leur parcours.

Pour terminer la journée, des vidéos réalisées par les étudiants dans le cadre d'un challenge national ont été diffusées ; l'épreuve a été remportée par Toulouse, suivi de Bordeaux et Paris.

Découvrez ci-dessous la vidéos gagnante :

L'ESME Sudria Lyon lance ses projets pour la sauvegarde de l'environnement

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L'ESME Sudria Lyon lance ses projets Optimisation énergétique et développement durable. Mis en place pour la première fois cette année par l'école, ces projets voient les 1res et 2es années travailler ensemble sur 15 solutions technologiques innovantes spécialement pensées pour la sauvegarde de l'environnement et la chasse au gaspillage comme l'utilisation des canalisations d'eau en tant que sources d'énergie ou encore l'élaboration d'un « drone solaire ».

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Jusqu'à présent, l'ESME Sudria Lyon proposait à ses étudiants de travailler sur des projets d'Initiation à la recherche et à l'innovation (IRI). Dorénavant, les 1res et 2es années mettront en commun leurs compétences au profit des projets Optimisation énergétique et développement durable. « Avec le recul, nous trouvions que ces projets IRI étaient trop courts et manquaient de liens entre les différentes matières enseignées par l'école, explique Andrea Bareggi, enseignant en génie des systèmes. Nous avons alors décidé de mettre en place ces nouveaux projets qui impliquent toutes les matières techniques des deux premières années de l'ESME Sudria. » Outre le fait de mutualiser les savoirs engrangés par les étudiants, ces projets d'un nouveau genre présentent également d'autres avantages et notamment l'apport de nouvelles idées. « Chaque étudiant de 2e année devait proposer une idée de projet, souligne l'enseignant. Sur les 42 idées apportées, les enseignants ont sélectionné les 15 meilleurs projets de par leur originalité, leur faisabilité et le bagage technique des étudiants encore modeste à ce stade de la formation vu qu'ils n'ont pas encore intégré le Cycle Ingénieur. » A la fin du programme en mai prochain, trois projets jugés comme les plus aboutis par les enseignants du campus de Lyon seront sélectionnés. En attendant de les découvrir, Andrea Bareggi revient sur les spécificités de cette démarche.

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Andrea Bareggi (à droite) lors d'une Journée Portes Ouvertes à l'ESME Sudria Lyon

Pourquoi cette thématique ?
Nous l'avons choisie car, aujourd'hui, c'est une thématique porteuse qui intéresse de plus en plus les entreprises, ces dernières embauchant d'ailleurs toujours plus d'ingénieurs pour travailler sur ce sujet. Cela permet aux étudiants de l'ESME Sudria Lyon d'augmenter encore plus leurs chances d'être recrutés par de grandes entreprises une fois leurs études terminées.

Pourquoi est-ce important pour les 1res et 2es années de s'attaquer à la réalisation de projets ?
Travailler sur ces projets autonomes les prépare déjà à ce qui les attendra lorsqu'ils seront ingénieurs d'ici trois à quatre ans. Bien sûr, il s'agit d'un véritable défi, notamment pour les 1res années qui, il y a encore quelques mois, étaient encore au lycée. Les étudiants sont donc à la fois impressionnés et enthousiastes. Impressionnés devant la quantité de travail à fournir car il s'agit de vrais projets de recherche à mener de A à Z qu'il leur faudra également présenter en anglais. Enthousiastes par rapport au côté pratique de cette démarche qui leur permet de toucher à une problématique porteuse.

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Pouvez-vous donner quelques exemples de projets parmi la quinzaine en cours ?
Un groupe est en train de travailler sur la maison intelligente et notamment sur la récupération des chaleurs inutilisées par le four pour réchauffer l'environnement. Une autre équipe partage le même « esprit » avec un projet souhaitant récupérer la chaleur des salles de serveurs pour chauffer ensuite d'autres pièces. Il y a également un projet portant sur l'élaboration d'un drone solaire entièrement équipé de cellules photovoltaïques permettant de l'alimenter. D'autres étudiants travaillent sur un projet portant sur la consommation d'eau dont le but serait d'équiper les tuyaux de canalisations d'une maison avec des mini-turbines pour générer de l'électricité : c'est la technologie des barrages qui serait miniaturisée et appliquée dans les foyers. Enfin, il y a également un projet de mesure et consommation intelligente d'air comprimée, une thématique très délicate car cette consommation constitue actuellement un coût considérable pour les entreprises d'usinages ou de processus industriels.

Cette démarche va-t-elle être répétée à l'avenir ?
Oui. Nous souhaitons que cette thématique continue et devienne même un symbole pour l'ESME Sudria Lyon afin de pouvoir développer de la recherche au sein du campus. Par la suite, certains projets proposés pourront éventuellement être poursuivis par les prochaines générations d'étudiants lyonnais. À terme, on peut même imaginer ces projets donner lieu à des créations d'entreprises ou à la mise en place de bureaux d'études. Nous sommes aussi en train de réfléchir à la possibilité de présenter les trois meilleurs projets lors du Symposium à l'ESME Sudria qui, normalement, est uniquement réservé aux meilleurs projets de fin d'études réalisés par les futurs ingénieurs de 5e année. Ce serait l'occasion de montrer - et de récompenser - tout le travail accomplis par nos étudiants.

La Project Week 2015

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Comme chaque année, ce rendez-vous consiste à faire travailler ensemble les étudiants des différents campus, pendant une semaine, sur des questions actuelles des entreprises, des marques et des agences. 1 000 étudiants des sept campus de l'ISEG Marketing & Communication School, d'Epitech et d'e-artsup ont ainsi planché sur un brief de La Poste pour imaginer ses nouveaux rôles et services en 2020 au sein de la ville intelligente. Après soutenance des meilleurs projets devant jury, deux lauréats ont été désignés : MaPoste (Bordeaux), une application faisant office de boîte aux lettres connectée et Nextoo (Paris), une application qui permet aux voisins de réceptionner un colis en cas d'absence.

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La Project Week devient un événement récurrent au sein du IONIS Education Group. Comme l'an dernier, une Project Week mobilise les écoles du Groupe IONIS à travers ses campus urbains pour former des équipes multidisciplinaires réunissant les profils marketing, technologie et design - la condition de la réussite de projets entrepreneuriaux.

Ils étaient 310, ils finissent à 10

D'Epitech, c'est la promo 2018 qui y a participé, leurs aînés de troisième année (promo 2017) étant mobilisés par FWD. Ils étaient 310, issus des campus de Bordeaux, Lille, Lyon, Nantes, Paris, Strasbourg et Toulouse.

En situation professionnelle véritable

Cette année, les groupes n'ont pas travaillé « à blanc », le destinataire des projets étant le Groupe La Poste. Dévoilé le lundi 16 avril, le thème proposé à la sagacité des étudiants de l'ISEG Marketing & Communication School, d'Epitech et d'e-artsup était intégré dans un contexte formulé ainsi : « nous sommes en 2020, quels seraient le rôle et les nouveaux services de la Poste, du facteur et de la boîte aux lettres dans le domaine des services à la personne. »

L'édition 2015

Les questions qui en découlaient étaient les suivantes :

  • En quoi La Poste et votre ville / quartier peut vous simplifier la vie ?
  • Peut-elle être un acteur sociétal de proximité et / ou un acteur accélérateur de la mobilité au sein de la smart city ?
  • En quoi des modes de livraison innovants (drones etc.) pourrait désenclaver certaines campagnes ou les zones d'accès difficile ?

La boîte à réponses

Les groupes alors constitués devaient envoyer leurs réponses argumentées le dimanche suivant. Les pré-sélections se sont faites les lundi et mardi 23 et 24 mars devant un jury composé de professionnels dans les villes concernées.

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7 campus, 8 finalistes

Les 7 finalistes ont été invités à venir soutenir pendant 30 mn à Paris, devant un jury composé d'un membre de la Direction des Systèmes d'Information (DSI) et de la Direction de l'Innovation du Groupe La Poste ainsi que des responsables pédagogiques de ces 3 écoles du Groupe IONIS. Les groupes ont été sélectionnés suite au dernier round de présentations, organisé soit le vendredi 27, soit le samedi 28 mars. Parfois, comme à Toulouse, le jury a challengé les projets de la Project Week et de FWD réunis. Au vu du nombre de projets éclos à Paris, le jury parisien en a retenu 2.

Pas un gagnant mais deux

Ce 2 avril, le jury n'a pas réussi à départager deux groupes et les a déclarés ex-aequo. Il s'agit de l'équipe bordelaise portant le projet MaPoste et de l'équipe parisienne Nextoo. Les deuxièmes sont les Toulousains ayant imaginé le projet Domeo. Le troisième projet sur le podium de cette Project Week 2015 est la seconde équipe parisienne : Pratissimo. Tous les membres de chaque équipe victorieuse ont remporté une montre connectée Withings.

MaPoste & Nextoo

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Le projet issu du campus de Bordeaux est une appli mobile qui revient à mieux connecter les usagers à leur facteur, en agrégeant les services offerts par la Poste. Adossée à un boitier connecté faisant office de boîte aux lettres connectée intégrant une puce NFC, la solution MaPoste permet de tracer finement le parcours des lettres et colis.

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Nextoo est, elle, une appli C-to-C (« la simplicité grâce à vous ») où, en cas d'absence à son domicile, un de nos voisins devient le réceptionniste de notre colis. Le voisin membre du réseau Nextoo se transforme en une sorte de point-relais privé. Nextoo crée ainsi une communauté de voisins, de particulier à particulier. Elle crée aussi du lien social tout en ouvrant la voie à des possibilités de revenus de complément aux personnes sans emploi ou à temps partiel.

Domeo & Pratissimo

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Domeo, l'équipe toulousaine arrivée deuxième, a quant à elle imaginé une solution de prévention des risques, via une box domotique. Le domicile connecté est inséré dans une système d'alertes - incendies, fuites de gaz... - dans lequel le facteur se retrouve au centre de l'écosystème. Le facteur est impliqué dans l'installation, la maintenance, le suivi et la satisfaction des habitants, La Poste modernise ainsi effectivement son service tout en devenant un acteur de plus grande proximité.

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Pratissimo se situe dans le même périmètre de service et d'usage, sauf qu'il s'adresse aux particuliers partant en vacances. Avec l'app Pratissimo, le facteur sait qu'il doit aller arroser les plantes, surveiller les animaux domestiques, renvoyer en urgence des passeports oubliés, tous les petites tracas à éviter pour profiter pleinement de ses vacances.
On se demande si un de ces services ne sortira pas en version industrielle même avant 2020...


Tous mobilisés pour le Printemps du Sang 2015

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Depuis 2008, IONIS Education Group s'engage aux côtés de l'Établissement Français du Sang (EFS) pour informer et sensibiliser les étudiants aux enjeux et à l'importance du don de sang. À l'occasion du Printemps du Sang, les différents campus du Groupe organiser des stands d'information, des collectes et des conférences. Les étudiants et collaborateurs pouvaient donner leur sang et de sensibiliser le public sur cet acte généreux et citoyen. L'édition 2015 a eu lieu du 10 au 24 mars et a vu chaque école du Groupe se mobiliser.

printemps_du_sang_2015_efs_don_mars_ionis_education_group_retour.jpgEnsemble pour le Printemps du Sang
Ainsi, les 16, 17 et 18 et 19 mars, de nombreux étudiants du campus lillois réunissant I'ISEG Group, l'ISEFAC Bachelor, l'ESME Sudria, Epitech et e-artsup ont pu se rendre courageusement à la Maison du Don ou au centre de don de Lille pour participer à cette belle initiative. À Toulouse aussi, les étudiants de l'ISEG Group, d'Epitech et de l'IPSA ont également fait don de leur temps comme de leur sang. Sur le campus du Kremlin-Bicêtre le 20 mars, plusieurs étudiants de l'EPITA ont également surmonté leur peur des aiguilles. Le même jour, les équipes de l'EFS étaient venues faire une collecte sur le campus d'Ivry-sur-Seine : plus d'une soixantaine d'étudiants de l'ESME Sudria, de l'IPSA, de Ionis-STM ou encore de l'ETNA sont passés les voir ! De quoi permettre à ce campus d'être celui qui a été « le plus de volontaires en Île-de-France » pour cette édition du Printemps du Sang. Cela n'a pas non plus empêché les étudiants de l'ICS Bégué d'être nombreux à participer à leur tour les 21 et 24 mars pour faire don de sang, de plaquettes et de plasma ! Et si, c'est le 21 mars que les donneurs de Sup'Biotech s'étaient donné rendez-vous sur le campus de Villejuif, c'est le 24 que l'association ISG Etincelle a pris en charge l'organisation d'une collecte dans le foyer associatif de l'école à Paris.

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JM Weston a Moda Domani Institute

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Dans le cadre de ses rencontres professionnelles hebdomadaires, l'école a reçu Cédric Dauch, directeur de la communication de JM Weston. Ancien responsable de la communication du Printemps, il est revenu sur son parcours et ses différentes expériences professionnelles. Il était interrogé par Pierre Kalaijian, directeur de Moda Domani Institute et Eric Briones, créateur du site Darkplanneur et directeur de la chaire luxe.

Cette note est extraite du blog de Pierre Kalaijan.


Chères lectrices, chers lecteurs,

Comme évoqué dans une récent post, les Rencontres professionnelles de cette fin d'année universitaire s'annoncent riches et passionnantes.

C'est dans cet élan que nous avons eu le plaisir de recevoir mercredi dernier, Cédric Dauch, directeur de la communication de J.M Weston.

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C'est avec une réelle pédagogie et un incontestable talent pour raconter les histoires que l'ancien responsable de la communication du Printemps a évoqué son parcours comme ses expériences, répondu aux questions d'Eric Briones et moi-même, et partagé sa vision des métiers de la communication dans le secteur du luxe.

Hasard du calendrier, La veille de l'évènement JM Weston lançait le MOC'Weston, réédition encore plus luxe de l'iconique mocassin de la marque. "Inspiré des lignes de l'emblématique mocassin 180, Le Moc' prend son envol et donne la toute-puissance à une élégance libre et estivale. Un mocassin allégé pour un confort absolu qui laisse place à la matière : le veau grainé se mêle au veau velours toucher cachemire, dans des tonalités inédites".

Cédric nous a fait la surprise de faire livrer 3 paires pour l'occasion. Les étudiants ont ainsi pu apprécier le savoir-faire de la Maison Weston.

Vous souhaitez en savoir davantage ? Laissez-vous guider par Anna, étudiante en première année, qui a souhaité résumer cette rencontre exceptionnelle sur son propre Blog, et dans la lange de shakespear !

Je laisse donc mon clavier à Anna Tai !

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Le Microsoft Camp 2015

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Après une première édition prometteuse en 2014, la Prep'ETNA a organisé un nouveau Microsoft Camp du 18 au 30 mars 2015 en partenariat avec la division française de la célèbre entreprise. Durant ces douze jours de travail intense, les étudiants de 1re année devaient créer un trio et développer une application ou un jeu vidéo en utilisant les technologies mises à disposition par Microsoft France (Unity, Azure, etc.). Le 1er avril, les 11 meilleures équipes avaient rendez-vous au siège de la compagnie, à Issy-les-Moulineaux, pour présenter leur projet devant un jury de professionnels avec, à la clé, des prix pour celles qui arriveraient sur le podium. Découvrez six projets dans cette première partie.


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Si le 1er avril est une journée qui se prête d'ordinaire aux blagues, les 33 étudiants de la promotion 2019 de l'ETNA réunis au siège de Microsoft France n'étaient pas là pour rigoler mais bel et bien pour montrer de quoi ils étaient capables. L'enjeu était de taille : les participants savaient qu'en séduisant le jury (composé de Stéphane Goudeau, Technical Evangelist à Microsoft France et Othman Chiheb, responsable communauté étudiantes Microsoft et Jérémie Marais, assistant technique à l'ETNA), ils permettraient à leur projet d'obtenir un vrai coup de boost. Car non seulement les trois équipes gagnantes repartiront avec des abonnements BizSpark d'une durée de 3 ans, mais elles bénéficieront également d'une mise en avant de leur projet sur le Windows Store, d'un suivi de l'entreprise et seront interviewées pour l'occasion (sans parler d'un Windows Phone offert à chaque membre de l'équipe arrivée en tête). De quoi motiver ces étudiants qui, durant deux semaines, ont travaillé sans relâche sur des idées bien souvent séduisantes.

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L'aspect communautaire, un élément récurrent
Les premiers à se lancer étaient les membres de Subwaze, une application communautaire qui souhaite permettre aux utilisateurs des transports en commun de créer des alertes signalant les problèmes rencontrées. Un outil plutôt intéressant, d'autant qu'il vise à toucher tous les réseaux de transports en commun alors que, bien souvent, chaque réseau possède sa propre application. Quand on sait que 10 millions de personnes environ empruntent bus, métro et autres RER chaque jour en France, l'utilité de Subwaze est toute trouvée.

etna_prep_etudiants_projets_code_camp_microsoft_unity_azure_jeu_video_application_windows_defi_challenge_equipes_2015_05.jpgIl était toujours question de communauté avec l'application suivante, Paris By Night, qui veut recenser toutes les boîtes de nuit de la capitale grâce à ses utilisateurs. Prix à l'entrée, événements, dress code, horaires, qualité de la soirée : plus rien n'échapperait alors aux membres de cette appli pensée pour les noctambules d'Île-de-France.
Love Spot était aussi tourné vers cet aspect communautaire. Cette application en anglais à but touristique et international compte lister tous les spots romantiques de Paris, « la ville la plus romantique du monde », avant de s'attaquer à « d'autres villes en France comme à l'étranger », dixit Elisa Paris, Project Manager. « C'est vrai que c'était très fatigant de travailler sur ce projet deux semaines non stop mais c'était très intéressant car on a découvert plein de technologies qu'on ne connaissait pas comme le C sharp. Pour l'instant, on recense une cinquantaine de spots mais l'appli est encore en phase alpha. On espère réellement la lancer prochainement ! »

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Les jeux vidéo également à l'honneur
Trois équipes avaient fait le pari osé de se lancer dans le développement d'un jeu vidéo. Pour autant, ces projets sont loin de se ressembler. Confrontation propose de suivre les aventures du petit robot Ethan qui doit échapper au Baron Kaboum à travers plusieurs mini-jeux (plateforme, endless runner...) dans un environnement 2D et plutôt agréable.

etna_prep_etudiants_projets_code_camp_microsoft_unity_azure_jeu_video_application_windows_defi_challenge_equipes_2015_07.jpgPlus agressif et bluffant techniquement grâce notamment aux prouesses de Kais Sahli, développeur Back-End et Front-End du projet Dead End mise quant à lui sur l'utilisation du gyroscope ou de l'écran tactile pour permettre à son protagoniste (vous) d'éviter une horde de zombies (visiblement peu aimables). Le tout en 3D et en vue à la première personne, s'il-vous-plaît. « Avoir à apprendre le C sharp et Unity en 10 jours, c'était un sacré défi : j'ai fait quelques nuits blanches mais cela montre que c'est réalisable ! », nous confie ce chef du projet.

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Également en 3D mais orienté conquête spatiale et stratégie, Space Empire plaira sans doute aux amateurs du célèbre OGame dont il reprend de nombreux codes. Dans un autre registre, le projet Makentar proposait également de jouer mais, cette fois-ci, en se balladant directement dans les rues de Paris. Cette application de réalité virtuelle était en effet penser pour soumettre à ses utilisateurs des quizz de différents niveaux au sujet des lieux et monuments répertoriés à proximité grâce à la géolocalisation.

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Dettes, cartes postales et réveil intelligent
On peut être ni communautaire ni ludique tout en étant prometteur. Avec son concept d'application facilitant les règlements de dettes entre amis, DettOff pourrait ainsi se faire une bonne place sur les smartphones lors de vacances en groupe.

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Idem pour l'équipe Fizzer for Windows Phone qui a préféré proposer directement ses services à la société Fizzer pour réaliser le portage de leur service de création de carte postale sur le store de Microsoft.

etna_prep_etudiants_projets_code_camp_microsoft_unity_azure_jeu_video_application_windows_defi_challenge_equipes_2015_13.jpgUne idée astucieuse, comme l'est celle à l'origine de WakeMeUp, une application qui se charge de modifier votre heure de réveil en fonction des perturbations liées à votre mode de transport (transports en commun, trafic routier). « À l'ETNA, chaque fois qu'on arrive en retard, on doit présenter un justificatif... avec notre application, je pense qu'on va sauver quelques étudiants de l'école, s'amuse Anthony Schatt, membre de l'équipe. Ce Code Camp était très intéressant car il nous a permis de découvrir pas mal de technologies, dont Azure. Même si ce n'est pas tout de suite évident à prendre en main, on s'est aperçu qu'on pouvait faire énormément de choses avec. »

etna_prep_etudiants_projets_code_camp_microsoft_unity_azure_jeu_video_application_windows_defi_challenge_equipes_2015_11.jpgWakeMeUp a éveillé l'intérêt du jury qui a décidé de lui accorder la troisième place du Microsoft Camp, juste derrière Dead End et sa réalisation technique bluffante. Pour autant, c'est un autre projet qui a su se tailler la part du lion.

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Shop Master, un projet qui peut se développer « à fond la caisse »
Arrivée à la première place, l'équipe de Shop Master possédait un atout de plus que ses concurrents : son service de caisse enregistreuse professionnelle à moindre frais était déjà commercialisé auprès de deux commerces, le restaurant Miloca à la Défense et le fast-food Golden Cheese à Ivry-sur-Seine ! « En fait, on avait déjà l'idée avant ce Code Camp mais on en a profité pour vraiment se lancer, détaille Igor Magès, représentant du trio vainqueur. Azure nous a permis de lancer l'API et d'avoir une infrastructure pouvant soutenir le projet. Il faut savoir qu'une caisse normale coûte très cher - environ 1 500 euros - et quand on sait que la plupart des nouveaux commerçants se lancent avec un budget de 2 000 euros, débourser seulement 15 euros par mois pour notre abonnement est plus qu'intéressant. »

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Fonctionnant avec une petite imprimante pouvant coûter entre 150 et 300 euros et l'application développée par l'équipe, le service de Shop Master risque de faire parler de lui durablement. « Nous sommes déjà en train de créer Cod'It, notre propre start-up entre étudiants de l'ETNA et sommes en train de déposer nos statuts avec notre avocat, poursuit Igor. On espère avoir les applications Windows, iOS et Android de Shop Master disponibles sur tous les stores dans peu de temps. Le but est que n'importe qui souhaitant lancer sa petite structure peut déjà commencer à facturer et avoir une caisse professionnelle avec de petits moyens. Nous avons d'autres projets en cours via Cod'It. Le fait d'avoir ce soutien technique de la part de Microsoft pendant 3 ans va être vraiment d'une grande aide pour continuer à nous développer. Ce Code Camp était vraiment génial, ne serait-ce que pour avoir des contacts avec une grosse entreprise comme Microsoft. On a aussi pu apprendre de nouvelles technologies, de nouveaux langages... Notre projet nous tient vraiment à cœur et ça laisse entrevoir de belles possibilités pour le futur. »


Retrouvez six autres projets dans la première partie de l'article consacré au Microsoft Camp.


Le mot d'Othman Chiheb, responsable communauté étudiantes Microsoft :
« On savait que ce Code Camp allait être bien mais pas à ce point ! C'était vraiment dur de départager les projets car chacun avait un gros potentiel. C'est pour cette raison qu'on compte réunir à nouveau les équipes au mois d'avril/mai pour voir les nouvelles avancées. Il faut que ces projets, qui sont prometteurs, aillent plus loin et pensent au long terme. Pour finalement choisir les trois gagnants, nous avons pris plusieurs critères en compte : l'originalité, la partie technique et la présentation. À la troisième place, on retrouve donc WakeMeUp, un projet simple mais efficace, qui a su très bien utiliser Azure. En deuxième position, c'est Dead End que nous avons choisi car il s'agit d'un très bon projet de jeu vidéo, qui aurait toutes ses chances pour une compétition comme l'Imagine Cup. D'ailleurs, il tirait la corde jusqu'à la présentation de Shop Master. Ce dernier est le plus abouti des projets présentés et possède déjà des utilisateurs : cela justifie pleinement sa première place. »

e-artsup Lille à la Fête de l'Anim' 2015

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Rendez-vous privilégié des passionnés d'animation depuis sa création en 2004, La fête de l'Anim' propose de nombreuses activités et challenges à chacune de ses éditions. Parmi ces derniers, le Marathon de l'Anim' est un défi voyant plusieurs équipes de professionnels ou d'étudiants issus d'écoles d'animation européennes produire un film animé de 10 secondes en 48 heures à partir d'une image donnée. Déjà participante de l'épreuve en 2014, e-artsup Lille a récidivé lors de cette nouvelle édition organisée du 27 au 29 mars 2015 par l'intermédiaire de Tristan Arcangeli (e-artsup promo 2017), d'Eugene Godbille (e-artsup promo 2018) et de Joris Mazelle (e-artsup promo 2017). Ils ont travaillé à partir d'une production de Michel Ocelot, père du célèbre Kirikou.



Le mapping était aussi à l'honneur
En plus du Marathon, d'autres étudiants d'e-artsup Lille participaient également à la Fête 2015 à travers un challenge créatif basé sur le mapping vidéo. Fabien Berquet, Alexandre Huyghe (e-artsup promo 2017) et Valentin Peulmeule (e-artsup promo 2018) s'étaient ainsi réunis pour produire en 72 h avec une dizaine d'autres équipes un mapping projeté sur la façade de l'Opéra de Lille le vendredi 27 mars en soirée d'ouverture. L'atelier était encadré par Tamás Zádor, créateur du collectif hongrois Kiégő Izzók (Glowing Bulbs) et Ludovic Burczykowski, artiste lillois spécialisé dans le mapping.


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HYPE, le concours des porteurs de projets

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En partenariat avec le Groupe IONIS, digiSchool vient de lancer le concours HYPE à destination des jeunes de tous âges. Placé sous le signe de l'innovation, il encourage les porteurs de projets humanitaires, entrepreneuriaux ou encore internationaux à déposer leur candidature en ligne sous forme de vidéo jusqu'au 10 mai 2015. Les 12 candidatures sélectionnées (quatre élues grâce aux votes des internautes, huit choisies par digiSchool) défendront ensuite leur projet sur la scène du théâtre des 2 Ânes (Paris 18e) le 30 mai 2015 à l'occasion d'une grande finale et pourront peut-être gagner un prix qui les aidera à concrétiser leur idée !

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Des prix pour les meilleures présentations
À l'issue de cette grande finale du 30 mai, un jury attribuera des prix « sur-mesure » aux meilleurs « pitchers » selon la catégorie associée. Ces dernières, au nombre de quatre, correspondent aux entrepreneurs de demain (Business Punk), aux initiatives tournées vers l'International (Globe Trotter), aux jeunes de moins de 15 ans (Espoirs) et aux projets associatifs et solidaires (2Gether). Ainsi, les gagnants des différentes catégories pourront remporter un an d'accès aux locaux de digischool à Lyon ou Paris, un billet Tour du monde, un an de campagne RP par l'agence Raoul Orchestra ou encore le financement du permis de conduire !

Concours HYPE 2015


À propos de digiSchool :
digiSchool est le spécialiste de l'éducation numérique. Leader en France avec plus de 6,5 millions d'utilisateurs par mois et plus de 5 millions de membres, digiSchool ambitionne de déployer son modèle en Europe en 2015. Les services digiSchool sont disponibles sur l'ensemble des devices (web, mobile, tablette) et s'adressent à 3 typologies de jeunes (collégiens, lycéens, étudiants post-bac).

La diffusion de Do The Right Team se poursuit

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La diffusion des Do The Right Team au sein du réseau national des 12 écoles Epitech se poursuit.
Jeudi 9 avril dernier, il s'agissait de la première session à Lyon, sur le campus du Groupe IONIS. Comme il est d'usage dans ces moments de networking, cette première Do The Right Team lyonnaise s'est déroulée sur un mode détendu, la cafétéria de l'ISEG comme cadre.

Rencontres inter-écoles

Comme à Paris ou à Marseille, cet événement veut favoriser la rencontre entre étudiants et Anciens d'Epitech et d'autres grandes écoles, pour mettre en relation différents profils : techno / business / design. Le tout dans un esprit de co-working et de team building pour constituer des équipes en position de gagner la bataille de l'entreprenariat.

Les écoles qui jouent le jeu

Jeudi dernier, les écoles en question - Epitech, ISEG Marketing & Communication School et EMLyon Business School - ont été représentées par certains de leurs étudiants ou de leurs Anciens, tels Coralie et Ralph.

La Boutonnière

Ces deux alumni de l'ISEG sont actuellement incubés à l'incubateur de l'EMLyon pour développer La Boutonnière. Cette start-up propose des ventes événementielles et veut transformer la manière de créer et de distribuer la mode. Son concept : changer la relation entre consommateurs et marques de mode via une plateforme collaborative, des créateurs directement à leurs clients cherchant des collections exclusives, françaises et de qualité.

Unmuted

On a déjà parlé de ce projet plusieurs fois, ici et beaucoup . Désormais renommé Unmuted, l'équipe formée aujourd'hui de Wiliam Oussier, Randy Livet, Johan Sebbane et Clément Roupioz (tous Epitech promo 2015) recherche activement « des web designers, commerciaux et graphistes pour compléter l'équipe et finaliser notre projet. »

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Bénéfice event

Pour Coralie et Ralph, en participant à un évènement comme Do The Right Team « nous voulons gagner en visibilité, présenter et faire découvrir la Boutonnière auprès d'un public connecté. Recruter des « early adopters », ces personnes prêtes à tester le concept lors de nos prochaines collaborations. Et avoir un feedback sur la plateforme et le processus de collaboration, ses aspects techniques, visuels etc. »

La Salopette est-elle en jeans ?

D'autres projets ont été présentés. Ainsi de La Salopette, fondée par 4 étudiants de l'ISEG MCS. Derrière cette appellation se cache un webzine dédié lui aussi à la jeune création de même que « axé autour de la découverte et de l'apparition de contenus nouveaux sur le web à destination des internautes. Ainsi, un système "win win" se met en place : les créateurs se font connaître et les internautes découvrent de nouveaux projets chaque jour. De plus, le webzine est en quête perpétuelle de collaborations et de développement. Nous sommes venus ici présenter le concept et plus, si affinités. »

Cizoo, pas des animaux en cage

Alexandre Agnès, Sébastien Debry et Sébastian Gil, tous 3 étudiants de l'EMLyon sont venus présenter leur application mobile ayant vocation à démocratiser la création musicale : Cizoo. Grâce à cette « app mobile, les utilisateurs peuvent créer de la musique facilement avec leurs amis, leur famille en offrant la possibilité à des personnes néophytes d'accéder à la création musicale. » Pour eux jeudi soir, venir à cette Do The Right Team a servi à « faire découvrir leur projet et chercher un développeur mobile pour compléter leur équipe et devenir associé. »

Sept nouveaux projets sélectionnés pour la 5e saison de StartUp42

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startup42_accelerateur_epita_start-ups_projets_nouvelle_saison_codewire_defab_dreamquark_people_data_pistache_themecloud_trak_08.jpgStartUp42, l'accélérateur de start-ups numériques soutenu par l'EPITA, revient pour une cinquième saison lors de laquelle, durant quatre mois, sept jeunes projets vont être accompagnés. Grâce au suivi de StartUp42 et à l'intervention de nombreux mentors, ces projets seront bientôt capables de proposer ou d'améliorer un produit, un service ou une application commercialisable. Daniel Jarjoura, co-fondateur et directeur de l'accélérateur, présente ces sept nouvelles entités aussi ambitieuses que prometteuses.


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Codewire : les experts au bout du fil
Codewire est un site Internet permettant de recevoir une assistance en temps réel d'experts software par vidéo chat et partage d'écran.

L'avis de Daniel Jarjoura : « Codewire est peut-être le projet le moins technique de cette saison en terme de produit mais il a sûrement trouvé la meilleure formule pour permettre aux développeurs de recevoir la meilleure aide technique en temps réel. »


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Defab : l'inverse du calcul pour les nuls
Defab développe une solution disruptive de calcul distribué qui permettra à terme une division substantielle du coût des calculs

L'avis de Daniel Jarjoura : « Pour des raisons de confidentialité liées à la technologie développée par Defab, je ne peux rien dire pour l'instant... mais cette solution est vraiment incroyable ! »


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DreamQuark : les docteurs de la donnée
DreamQuark propose des solutions d'analyse de données et d'intelligence artificielle pour le secteur de la santé.

L'avis de Daniel Jarjoura : « Avec sept doctorants dans leur équipe, DreamQuark a ce qu'il faut pour devenir rapidement une pointure mondiale du Big Data dans la santé. »


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People & Data : le nouveau Captain Contrat ?
People & Data développe Profile, un logiciel SaaS qui permet aux TPE/PME de gérer l'ensemble de leurs ressources humaines, leurs allocations et droits divers.

L'avis de Daniel Jarjoura : « Peu de start-ups se lancent habituellement dans le fait de fournir des services aux TPE/PME mais il s'agit d'une niche de marché avec beaucoup de besoins, en témoigne le succès actuel de Captain Contrat, start-up accélérée lors de la 2e saison de StartUp42. »


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Pistache : l'assistant des parents high-tech
Le jeu Pistache aide et motive vos enfants à réaliser leurs petites tâches du quotidien.

L'avis de Daniel Jarjoura : « Les parents cherchaient en vain la solution pour tirer profit des tablettes dans l'éducation de leurs enfants. Avec Pistache, la solution est finalement là ! »


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ThemeCloud : le clic facile
ThemeCloud permet de déployer en un clic des applications Web basées sur WordPress et d'autres technologies Open Source.µ

L'avis de Daniel Jarjoura : « ThemeCloud permet enfin aux personnes les moins techniques d'avoir accès aux applications Web les plus complexes. »


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Trak : au plus près du DJ
Trak permet aux fans de musique d'être connecté en temps réel au DJ lors de soirées via une application Smart Watch ou un bracelet connecté.

L'avis de Daniel Jarjoura : « Trak, c'est une super équipe et une technologie innovante ! »


StartUp42, le sens de l'innovation
StartUp42 est un accélérateur de start-ups numériques sponsorisé par EPITA et supporté par des partenaires entreprise (Econocom, Salesforce, France Télévisions, OpenDataSoft...). Son principe est d'accompagner gratuitement et sans prise de participation au capital des projets sélectionnés par un jury de professionnels. Durant quatre mois, StartUp42 leur apporte des bureaux (localisés au centre du campus technologique Paris-Sud de IONIS Education Group), un mentorat (plus d'une soixantaine d'entrepreneurs, experts techniques, chercheurs, designers se relaient pour challenger et inspirer les start-ups), et les met en relation avec des experts, des investisseurs, des médias et de potentiels clients. À la fin de ce laps de temps se tient Prototype Fiesta, une cérémonie de clôture qui permet aux start-ups de revenir sur ces quatre mois d'accélération en montrant l'évolution de leur projet et de leurs ambitions tout en réalisant une démonstration en public de leurs prototypes.

Les Chatons d'Or 2015

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Cette année, l'ISEG Marketing & Communication School est partenaire du festival Les Chatons d'Or.

Les Chatons d'Or est un festival de créativité gratuit, ouvert à tous, qui récompense la création publicitaire au sens large. Cette quatrième édition, placée sous « le signe du plaisir : plaisir de créer, d'inventer, de se renouveler pour faire avancer les idées », comporte quinze challenges dont le Prix ISEG Marketing & Communication School, une épreuve de création d'affiches sur le thème « La publicité, c'est un métier (d'avenir) ». La participation est ouverte jusqu'au au 22 mai. Le jury, conduit par Andrea Stillacci, président de l'agence Herezie, remettra les différents prix le 3 juin à Paris.


La promotion 2014 à l'honneur

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Chaque année, les diplômés de l'EPITA, l'ESME Sudria et l'IPSA reçoivent leurs titres d'ingénieur à la Maison de l'Unesco à Paris (7e). Entourés de leurs proches, les EPITéens de la promotion 2014 de l'école étaient ainsi récompensés le vendredi 10 avril lors d'une cérémonie aussi prestigieuse que le cadre qui l'accueillait. Un grand moment qui clôt de la plus belle des façons leur passage au sein de l'EPITA.

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Des diplômés qui bâtiront la société avancée de demain
Qu'ils se dirigent vers une grande carrière d'ingénieur, de manager, de chef ou de créateur d'entreprise, les diplômés de se souviendront longtemps de cette soirée où, dans la Maison de l'Unesco, ils fêtaient de manière solennelle la fin de leur parcours d'étudiants et leur entrée définitive dans le monde professionnel. Cette cérémonie commençait d'abord par les interventions de Marc Sellam et de Fabrice Bardèche, respectivement président-directeur général et vice-président exécutif de IONIS Education Group.

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Marc Sellam et Fabrice Bardèche


  • EPITA

« L'EPITA nous permet de rencontrer et de valoriser tous ceux qui ont des idées, de l'envie, un projet et pas seulement des "forts en maths", annonçait Marc Sellam devant l'auditoire où se mêlait diplômés, membres de l'équipe pédagogique de l'école, proches et Anciens. Nous voulons des étudiants créatifs, enthousiastes, volontaires et c'est avec eux que nous bâtirons la société avancée de demain. » Une société de demain où l'innovation sera le maître mot. « Pour le Groupe IONIS, une école d'ingénieurs comme l'EPITA doit avoir ce "plus" qui fait la différence, estimait ainsi Fabrice Bardèche. La passion ou le choix raisonné mais ambitieux, l'intelligence des grandes tendances qui fabriquent le monde de demain, conduisent les jeunes vers l'EPITA qui leur insuffle cette envie d'innovation et forge à chaque promotion des créateurs, des inventeurs, des entrepreneurs. Vous, jeunes diplômés, possédez cette force en vous : il vous suffit de la libérer. »

La belle conclusion de plusieurs années d'études intensives
Sur la grande scène, Joël Courtois, directeur général de l'EPITA, avait également un mot à adresser à ces étudiants qu'il a vu grandir et monter en compétences au fil des ans : « Nous sommes réunis pour un moment particulièrement important car nous fêtons tous ensemble la conclusion de dures années d'études de ceux qui, il y 3 ou 5 ans, ont fait le choix de rejoindre l'EPITA. Cette cérémonie voit enfin l'achèvement de leurs efforts et leur entrée dans la vie professionnelle où, grâce aux outils que l'école a pu leur donner, ils vont s'épanouir et devenir les acteurs du changement d'un monde toujours plus complexe. »

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Fabrice Bardèche, Marc Sellam, Joël Courtois et Xavier Terrasse, parrain de la promotion 2014

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Également présent, Xavier Terrasse, directeur du programme Digital Working de BNP Paribas et parrain de promotion tenait aussi à féliciter ces filleuls devenus ingénieurs : « Pour nous, parrainer cette promotion de l'EPITA, c'est d'un côté reconnaître que nous avons besoin d'ingénieurs en informatique - l'informatique étant notre usine de production pour la banque - et de l'autre préparer le renouvellement des générations parce que nous avons de compétences dans ce monde moderne qui évolue très vite. »

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Les majors à l'honneur
À la suite de ces différentes interventions vint le moment tant attendu par les EPITéens : celui où, sur leur 31, ils montaient tous un par un sur la tribune pour recevoir leur titre d'ingénieur. Comme le veut la tradition, ce sont d'abord les majors des différentes majeures qui ouvraient la marche. Ainsi, tous les yeux étaient tournés vers Loïc Chen (Télécommunications et Réseaux), Laura Ollivier (Systèmes d'Information et Génie Logiciel), Benoît Zanotti (Sciences Cognitives et Informatique Avancée), Antoine Jackson (Multimédia et Technologies de l'Information), Clément Rouault (Génie Informatique des Systèmes Temps Réels et Embarqués), Raphaël Boissel (Calcul Scientifique et Image), Stanley Cokelaere (Global IT Management), Supriya Ghadage (Diplôme National de Master en Sciences et Technologies, spécialité Ingénierie Logicielle), Abraham Johnson (Diplôme National de Master en Sciences et Technologies, spécialité Management des Systèmes d'Information) et Arnaud Moya (Titre d'Expert en Ingénirie Informatique). Bravo à eux et à tous les diplômés !


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La promotion 2014 à la fête !

Le mot de Laura Ollivier, major de la majeure Systèmes d'Information et Génie Logiciel
« Aujourd'hui, je suis consultante en maîtrise d'ouvrages et, pour moi, l'EPITA représente la meilleure équipe d'ingénieurs informatique : c'est une école qui nous permet d'entrer dans le monde professionnel de la meilleure des manières, avec beaucoup de stages, pour devenir un très bon ingénieur. Durant mes études, j'ai appris beaucoup au niveau du relationnel car l'entraide, c'est la grande fondation de cette école : on était sans cesse amenés à travailler en groupe et à s'aider les uns les autres pour répondre aux objectifs. Pour autant, mon meilleur souvenir était loin de l'école puisqu'il s'agissait de mes six mois passés à l'étranger, en Afrique du Sud, lors de mon semestre à l'International. C'était inoubliable. »


  • ESME Sudria

Sur la grande scène, Eric Simon, directeur général délégué de l'ESME Sudria, avait également un mot à adresser aux étudiants aujourd'hui récompensés de leurs efforts. « Cette soirée est très importante pour moi comme pour vous, vos familles et l'ensemble de la communauté éducative de l'école. Cette cérémonie, la 110e tout de même, représente un rite de passage entre votre vie d'étudiant et votre vie active dans laquelle beaucoup d'entre vous sont déjà rentrés. Je vous souhaite à tous et à toutes d'être heureux mais surtout de garder intacte cette curiosité, cette ouverture d'esprit et cette envie d'améliorer le monde ! »

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Eric Simon

ceremonie_remise_titres_ingenieurs_esme_sudria_etudiants_diplomes_avenir_anciens_ionis_education_group_hp_2015_01.jpgDominique Steve (ESME Sudria promo 1986), président de l'association Ingénieurs ESME-Sudria, était également venu féliciter cette nouvelle promotion

HP, partenaire de l'ESME Sudria et soutien des étudiants
La marraine de la promotion, Florence Laget, directrice des activités Big Data de HP France, avait également fait le déplacement pour féliciter ses filleuls et les encourager à continuer d'innover une fois dans le monde professionnel. « Je suis très heureuse d'être votre marraine, rappelait-elle aux diplômés. Bien que je n'ai pas de conseil à vous donner sur la façon dont vous allez pénétrer le marché de l'emploi - avec vos compétences acquises, vous avez tous un boulevard devant vous -, j'en ai tout de même un sur la manière dont vous allez embarquer les gens dans le changement. Si l'innovation n'est pas apportée avec toutes les équipes qui vont devoir la vivre et l'amener à son niveau de maturité, on s'épuise à vouloir installer le changement. Il vous faut donc créer une belle histoire que tout le monde puisse comprendre et dans laquelle vos investisseurs, vos managers et vos équipes peuvent se projeter ! » De belle histoire, il en est également question entre l'ESME Sudria et HP, partenaires autour de la thématique des Big Data. « Cela correspond à la fois à notre volonté chez HP de développer des compétences, des approches et de l'expertise autour des données, poursuivait Florence Laget. D'ailleurs, nous allons bientôt lancer avec l'ESME Sudria un programme d'incubateur pour les start-ups autour également du Big Data ! »

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Florence Laget

Les majors à l'honneur
Fiers et sur leur 31, les étudiants étaient ensuite invités à rejoindre la tribune pour recevoir leur titre d'ingénieur. Tradition oblige, ce sont d'abord les majors des différentes majeures qui ouvraient la marche : Mathieu Boullet (Énergie et Systèmes), Benjamin Mauron (Signal et Réseaux), Samuel Tricon (Systèmes de Traitement de l'Information), Alexis Guillemet (Systèmes Embarqués et Électronique) et Jeffrey Boullenot (Formation par l'apprentissage). Bravo à eux et à tous les diplômés !

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Les diplômés au complet !

Le mot de Benjamin Mauron, major de la majeure Signal et Réseaux
« J'ai intégré l'ESME Sudria car c'était pour moi l'opportunité de découvrir une grande diversité de matières, de l'énergie à l'informatique en passant par les systèmes embarqués, et ainsi trouver la voie qui saurait me correspondre. Durant mes études, je me suis passionné pour de nombreux sujets, comme par exemple toutes les options liées aux télécommunications satellitaires, et j'ai également pu prendre part à de multiples projets en groupe. De mon passage à l'ESME Sudria, je retiens aussi mon semestre à l'International que j'ai pu faire à Budapest, une ville que je ne connaissais pas du tout et qui m'a charmé totalement durant les six mois où j'y ai vécu. C'était une expérience exceptionnelle. »


  • IPSA

Évidemment présent pour féliciter personnellement ces étudiants qu'il a vu grandir années après années, Hervé Renaudeau, directeur général de l'IPSA n'avait pas oublié de souhaiter bon vent tout en leur rappelant de toujours « garder intacte » cette « passion pour l'aéronautique et le spatial » qui leur avait fait choisir l'école il y a de ça quelques années : « Aujourd'hui, c'est un très grand jour, un jour qui va marquer l'histoire de nos jeunes diplômés car il s'agit de leur passage officiel de la vie étudiante à la vie professionnelle. Un titre d'ingénieur, c'est le diplôme de tous les possibles qui ouvre la porte à une large palette de métiers et de fonctions techniques, managériales, en marketing, en production, dans les affaires, voire même dans l'enseignement ou la création d'entreprise ! »

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Hervé Renaudeau

ceremonie_remise_titres_ingenieurs_ipsa_etudiants_diplomes_avenir_anciens_ionis_education_group_2015_02.jpgPhilippe Birr, membre de l'Association des Anciens de l'IPSA, était également venu féliciter les diplômés

Sur la grande scène, Roland Potez se tenait aux côtés d'Hervé Renaudeau. Président de Potez Aéronautique, une société qui intervient dans le domaine de l'aérostructure afin de réaliser des éléments d'avions ou d'hélicoptères civiles ou de combat, cet invité était heureux d'être là pour deux bonnes raisons : « Faire figure de parrain de cette promotion 2014 est très particulier pour moi, d'abord parce que l'un des récipiendaires de cette promo est Henry Potez, mon fils, mais aussi parce que toute cérémonie de cette nature permettant de célébrer l'intérêt de nos jeunes pour l'industrie représente un sens évident pour le chef d'entreprise que je suis. L'ingénieur, c'est justement la force vive, la force créatrice de notre industrie et je suis convaincu que ces jeunes ingénieurs participeront à de remarquables réalisations ! »

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Roland Potez

Les majors à l'honneur
Après ces interventions chaleureuses, les IPSAliens étaient invités à rejoindre la tribune pour recevoir leur titre d'ingénieur. Comme le veut la tradition, ce sont d'abord les majors des différentes majeures qui ouvraient la marche. Ainsi, tous les yeux étaient tournés vers Thibault Duarte (Conception des Systèmes Aéronautiques, option Systèmes de Commandes), Kévin Humbert (Conception des Systèmes Aéronautiques, option Structures Véhicules), Alexandre Wach (Conception des Systèmes Spatiaux), Willy Leddet (Management et Logistique Industrielle) et Kelvin Roehrig (International). Bravo à eux et à tous les diplômés !

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Fabrice Bardèche, Marc Sellam, Roland Potez et Hervé Renaudeau avec les majors de la promotion 2014

ceremonie_remise_titres_ingenieurs_ipsa_etudiants_diplomes_avenir_anciens_ionis_education_group_2015_04.jpgLa promotion 2014 au complet !

Le mot de Kelvin Roehrig, major de la majeure International
« Pour moi, l'IPSA, c'est travailler en équipe autour d'une passion commune, celle de l'aéronautique et du spatial. J'ai appris énormément de choses durant ces cinq années, avec de nombreuses matières étudiées et projets à mener. Ce qui m'a le plus plu, c'est l'esprit de franche camaraderie qui régnait à l'école. Mon meilleur souvenir ? C'était en 5e année, lors de mon double-diplôme que j'ai réalisé à la Shenyang Aerospace University, en Chine. C'était en petit comité, avec d'autres IPSAliens, et cela nous a permis de mieux nous connaître et de tisser des liens d'amitié vraiment forts. »

Semaine Entreprises des 3es années

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Du 30 mars au 4 avril 2015, les 3es années de Ionis-STM participaient à une Semaine Entreprises concoctée par l'école. Le but ? Voir les étudiants composer leurs propres équipes afin de développer une idée d'entreprise à fort potentiel. Après plusieurs jours de travail et de brainstorming, les projets étaient présentés devant un jury composé de professionnels. Au final, c'est l'équipe de Stéphanie Bourdut, Céline Hamadani, Perrine Leclerc et Kenza Ouali (Ionis-STM promo 2017), quatre étudiantes de la filière Management & Biotechnologies, qui était désignée la plus prometteuse pour son projet Personalized SKin Care.

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L'équipe souriante du projet Personalized SKin Care

Proposer un concept d'entreprise en une semaine seulement n'est pas une mince affaire. C'est pourtant le défi qu'ont relevé les étudiants de 3e année de Ionis-STM et notamment l'équipe de Perrine et Stéphanie, à l'origine de Personalized SKin Care et son concept de crème cosmétique d'un autre genre. « L'idée m'est venue directement car ça faisait un moment que je me disais que, nous les femmes, aimerions avoir une crème personnalisée : en général, il y a plein de crèmes sur le marché mais on n'en est jamais vraiment satisfaites à 100 % et il faut toujours en prendre plusieurs, explique Stéphanie, la chef de projet. En effet, vu les technologies disponibles aujourd'hui, il nous semblait désormais possible de créer une crème adaptée à chaque peau. » Une fois l'idée de Stéphanie validée, toute l'équipe s'est rapidement mis en marche. « Le premier jour, on nous a dévoilé la teneur de cette semaine et nous nous sommes directement parties sur l'idée de Stéphanie, détaille Perrine. Le deuxième jour, on devait avoir couché le concept détaillé de l'entreprise sur un doc Word. Le troisième jour, on devait avoir la présentation PowerPoint prête. Le quatrième jour, on avait à faire un document Excel comportant nos projections financières. Enfin, le vendredi, c'était la soutenance finale devant le jury. »

ionis_stm_semaine_entreprises_2015_projets_etudiants_creation_entrepreneuriat_idee_concept_presentation_jury_professionnels_03.jpgUne technologie intéressante et une entente parfaite comme clés du succès
En quelques jours, l'affaire était réglée, l'idée étoffée, ce qui a permis à Personalized SKin Care de recueillir les louanges du jury. « Le fait que l'on décide de placer notre projet en cosmétologie, un domaine porteur, et qu'on l'oriente vers la personnalisation, un courant en vogue, ça a sans doute plu au jury », juge Stéphanie. Pour Perrine, c'est surtout la technologie choisie qui a fait la différence : « Grâce à une machine spécifique qui existe déjà et peut être transportable, on analyse la peau et on demande ensuite à la cliente ce qu'elle attend de sa crème. Enfin, grâce à un algorithme qu'on brevèterait, on couple ces deux données de façon à sortir les ingrédients et le dosage exacts pour cette crème personnalisée. » L'autre atout de l'équipe, c'était sans doute son osmose. « Être chef de projet, ce n'était pas très compliqué avec cette équipe, précise Stéphanie. Tout s'est fait naturellement : comme on se connaissait, on savait déjà qui était meilleure dans tel ou tel domaine. En plus, nos personnalités se complétaient bien. D'ailleurs, nous avions justement voulu composer une équipe entre profils "bio" car la thématique de cette semaine, plus libre, le permettait. Comme nous sommes toutes intéressées par le secteur de la cosmétique, on préférait travailler ensemble car nous étions toutes passionnées par le projet et enthousiastes à l'idée de lui donner forme ! »



2 questions à... Erika Moulet, journaliste et animatrice TV (NRJ12), membre du jury de la Semaine Entreprises de Ionis-STM

Déjà présente au sein du jury de la Semaine Entreprises en 2014, Erika Moulet a de nouveau accepté de faire partie de l'aventure cette année pour juger le travail (et les idées) des étudiants.

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Les étudiants de Ionis-STM ont profité de la présence d'Erika Moulet pour faire un selfie

Pourquoi avez-vous accepté de faire partie du jury cette année encore ?
C'est tout simplement Guy Wiriath, l'intervenant de Ionis-STM qui s'occupe de cette semaine, qui m'a proposé de revenir pour donner aux étudiants un regard extérieur sur leur travail. L'idée, c'était de voir si leurs idées étaient viables, plaisantes et si elles pouvaient effectivement marcher. Comme je connais Ionis-STM de longue date, j'ai accepté de faire partie du jury pour représenter la partie communication/journalisme aux côtés d'autres membres au profil plus technique. Le but de mon travail étant effectivement de faire passer des messages avec la meilleure interprétation possible, Guy a pensé que je pouvais bien correspondre à ce rôle.

Comment avez-vous jugé le travail des étudiants ?
Je les ai déjà trouvés tous sincères dans leur démarche. C'était important de voir qu'ils ont pris ça à cœur, en travaillant sérieusement et avec envie. En ce qui concerne les projets en eux-mêmes, deux m'ont particulièrement marquée.
Le premier, FlashRéduc, consistait à mettre des QR codes sur les gobelets - ceux qu'on retrouve par exemple dans les machines à café en entreprise - et je l'ai trouvé très intéressant : c'est une très bon moyen de communication et je me suis même demandée pourquoi la publicité ne s'en était pas encore emparée ! Pour la démonstration, l'équipe avait pensé à une promotion pour un restaurant situé à 500 m aux alentours mais l'idée peut également être bonne pour plein d'autres choses.
Le deuxième projet, c'était le projet de crème personnalisée s'adaptant à tous styles de peau. En plus d'avoir à l'origine une idée claire et bonne - les femmes comme les hommes aimeraient sûrement pouvoir avoir sa propre petite crème -, ce projet a été très bien pensé de A à Z, du concept au tract publicitaire en passant par le flacon... Si bien que, si jamais l'équipe trouvait un investisseur, elle pourrait se lancer sans souci !
Vraiment, dans l'ensemble, tous les groupes ont été très pertinents dans ce qu'ils proposaient et j'ai été fière de faire partie de ce jury. Ces étudiants ont du talent !

La métamorphose de la télé

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La troisième session Tech Discovery Lab s'est tenue mercredi au Spot Bouygues hébergé à Epitech. Très interactive, « Réinventer le JT » en guise de thème suscitant beaucoup de questions de la part des étudiants, cette conférence a été menée de main de maître par Paul Lefrancq, News & Archiving Manager (Organization - Business Technology Department) du Groupe TF1.

Le JT, ce malade bien portant

Ce Tech Discovery Lab s'est donné comme but de réfléchir aux pistes menant à « réinventer le JT, du choix éditorial à la distribution ». Ce fameux Journal Télévisé (JT) dont on annonce la fin depuis des années mais qui se porte toujours aussi bien. Le JT du 20h par exemple, que certains ont surnommé « une passion française », réunit sur TF1 entre 6 et 7 millions de téléspectateurs tous les soirs.

La télé à l'heure des défis

Toutefois et Paul Lefrancq l'a bien rappelé, avec la démocratisation à très grande échelle des usages numériques dont l'Internet mobile, la relation que l'on entretient avec la télévision se transforme. Ce « média unidirectionnel » - un message émis par un seul émetteur / diffuseur à des millions de récepteurs - ne correspond plus autant qu'avant au monde du 21 siècle. "Top down" versus "bottom up".

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Les jeunes et la télé

Le mot d'ordre du groupe TF1 est aujourd'hui celui-ci : anticiper ce monde digitalisé. Ces générations qu'on appelle Y et Z sont déjà passées de l'autre côté de la frontière digitale. Les étudiants de l'école sont de très bons représentants de ce nouveau monde connecté.

Un nouveau parcours de consommation

Un des bouleversements en cours s'incarne ainsi : on note aujourd'hui deux façons émergentes d'accès à l'information, Google et les réseaux sociaux. Cela signifie que taper directement l'adresse URL d'un média en ligne sur son navigateur n'est plus que le fait d'une minorité...

Le public et les curateurs

Pour anticiper et accompagner le changement aux côtés de toutes les rédactions du groupe (dont MyTF1News, LCI, Metronews...), il faut d'abord tirer un bilan de la situation. Un des facteurs du constat est qu'« Internet est une voie de retour en temps réel sur les sujets diffusés », ce qui signifie aussi « que les actions des internautes disent ce qu'eux-mêmes veulent voir ».

Medium is the message

Face à cette nouvelle chronologie de consommation des médias, Paul Lefrancq a expliqué le « workflow » précis de production et publication de tout contenu. À tout moment, les étudiants sont intervenus, curieux et critiques à la fois. Plusieurs pistes de réflexion et des idées projets leur ont été fournies.

En voici quelques-unes :

  • Les sources d'information officielles sont de plus en plus challengées par les réseaux d'information immédiate, des sources plus ou moins fiables : comment en faire le tri ?
  • L'analyse de données en masse permet de traiter des thématiques différemment ; comment les exploiter et les mettre en valeur ?
  • Commet découper automatiquement des flux TV ? Peut-on fabriquer un texte automatiquement adapté à son support ?
  • Comment assurer un bon traitement des réseaux sociaux, donc la gestion du direct en lien avec ce qui s'en dit en en même temps sur ces réseaux sociaux..
  • Sur quels supports consulter l'info demain ? Les montres connectées, la TV en OTT, les Boxes de FAI ?
  • Quels seront les nouveaux mode de navigation dans l'info ?


Autant de questions auxquelles des étudiants fourniront des réponses, à n'en pas douter.


L'entrepreneuriat : une manière de valoriser la recherche

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Véritable enjeu pour l'apport d'innovation dans le domaine de la santé, l'entrepreneuriat était à l'honneur à la Maison du Projet de Cancer Campus ce mardi 14 avril 2015. À l'occasion de la 2e grande journée de sensibilisation à la création d'entreprises organisée par Cancer Campus en partenariat avec Sup'Biotech, experts, entrepreneurs et étudiants étaient réunis pour aborder les différentes facettes inhérentes à cette aventure qui tente de plus en plus de jeunes français.

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Même si créer une entreprise dans le domaine de la santé et des biotechnologies reste un défi, ce n'est pas une mission impossible pour peu qu'on s'en donne les moyens, qu'on puise dans des ressources déjà disponibles et que l'on affiche une détermination sans faille. Voilà l'idée principale que l'on pouvait tirer des interventions programmées lors de ce rendez-vous de sensibilisation à l'entrepreneuriat proposé par Cancer Campus. Ce n'est pas Vanessa Proux, directrice générale de Sup'Biotech, qui dira le contraire. « C'est très important de soutenir l'entrepreneuriat et donc d'initier nos étudiants à ce concept, cette belle aventure, affirmait-elle. Je suis convaincue de l'intérêt et du besoin de créer des entreprises en France dans le domaine de la santé : nous avons déjà tellement d'innovations disponibles et de de beaux résultats de recherche qui restent malheureusement dans les laboratoires. J'espère que, parmi nos futurs diplômés, certains trouveront le moyen de les valoriser et proposer une entreprise innovante, comme a pu le faire Camille Hetez présente aujourd'hui. » Diplômée de la promotion 2014 de Sup'Biotech, Camille avait répondu à l'invitation de Cancer Campus pour présenter CeleScreen, sa start-up prometteuse, mais aussi donner quelques conseils à ceux qui aimeraient suivre son exemple. « La création d'une entreprise biotech en fin d'études, c'est possible, insistait cette jeune entrepreneure de 24 ans. Pour cela, il ne faut pas hésiter à faire des partenariats, bien s'entourer, entretenir son réseau, réfléchir à chaque point, ne pas hésiter à participer à des concours mais surtout passer maître dans l'art de faire des concessions ! Monter une entreprise signifie devoir gérer les compétences et les envies des membres de l'équipe car si on peut monter une entreprise ensemble, cela ne signifie pas forcément qu'on a tous les mêmes envies. »

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Camille Hetez (CeleScreen) devant l'auditoire

La recherche comme source d'idées, l'industrie comme source de moyens
Comme dit précédemment par Vanessa Proux, la recherche en France peut être une ressource inestimable pour les aspirants entrepreneurs. C'était même le point central du service proposé par StartSquare.io, une start-up développée par Tanguy Confavreux et son frère Renaud (Sup'Biotech promo 2013) qui équivaut à une plateforme permettant la mise en relation entre les avancées scientifiques brevetées et les entrepreneurs innovants. C'était également le point de vue du chirurgien digestif Alain Sezeur invité à s'exprimer dans les locaux de Cancer Campus sur « le pourquoi et le comment » de « la valorisation d'une innovation pour une démarche entrepreneuriale » : « La compétitivité passe d'abord par l'innovation. D'ailleurs, l'entrepreneuriat n'est qu'une façon particulière de valoriser la recherche. » À ses yeux, il faudrait plus de « collaborations de recherches académiques avec l'industrie car les budgets alloués par un pays à la santé et la recherche sont proportionnels à son activité économique et industrielle. Cela permet d'accéder à des moyens mais ce n'est pas pour autant aller vers le "grand Satan". Ça permet d'augmenter significativement le nombre de publications. » Pour lui, l'entrepreneur - notamment dans le domaine de la santé - doit avoir le « goût du risque, de la création, de l'indépendance », doit vouloir « s'impliquer dans un enjeu sociétal » et ne doit surtout pas négliger « l'équipe, un élément clé pour convaincre les investisseurs : si vous recrutez toujours plus petit que vous, vous ferez une entreprise de nains. »

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Tanguy Confavreux (StartSquare.io)

supbiotech_cancer_campus_2015_retour_journee_sensibilisation_etudiants_entrepreneuriat_sante_projets_start-ups_03.jpgDifférents intervenants se sont relayés

Un événement qui a séduit entrepreneurs, étudiants et professionnels
Nombreux étaient les étudiants de Sup'Biotech à s'être déplacés pour assister aux débats. Ils n'étaient pourtant pas les seuls à avoir répondu présent. D'autres personnes sont également venues donner des conseils et étoffer leur carnet de contacts. Parmi eux, on trouvait Dimitri Kornblum qui, après avoir participé à la 1re édition de l'événement en 2014, avait décidé de se lancer dans l'entrepreneuriat avec une idée de seringue révolutionnaire nommée Biocraft. « L'important dans un événement comme celui organisé aujourd'hui, ce sont les rencontres possibles, encore plus que les présentations qui sont déjà très intéressantes sur les innovations apportées à la médecine, soulignait Dimitri. Le réseau, c'est très important. SI je devais donner un conseil aux jeunes qui souhaitent répondre à l'appel à projets de Cancer Campus, c'est de ne pas avoir peur de se lancer et de s'entourer d'une bonne équipe composée de personnes de confiance et complémentaires. Créer une entreprise, c'est comme établir un contrat de mariage avec son ou ses partenaires dans cette aventure. Aussi, je leur dirai qu'il n'y a pas forcément besoin d'avoir une idée de génie pour se lancer dans l'entrepreneuriat : c'est une idée un peu fausse car il existe déjà beaucoup de brevets publics dans les Sociétés d'Accélération du Transfert de Technologie (SATT) ou les cellules de valorisation du CNRS qui sont justement en attente d'entrepreneurs ! »

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Dimitri Kornblum (porteur de projet de la 1re édition de l'événement) et Marc-Henri Meux (Sup'Biotech promo 2015), Business Developer à Cancer Campus

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Open ISEG VI : les 10 dossiers sélectionnés

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Vendredi 20 mars, les participants au challenge OPEN ISEG VI ont remis leurs dossiers de présentation au pré-jury composé de Marc Drillech - Directeur Général de IONIS Education Group, Adrienne Jablanczy - Directeur ISEG Group et Béatrice Vendeaud - Directeur des Partenariats Entreprises et du Réseau des Anciens.
Cette année encore, la sélection n'a pas été facile !

Découvrez les 10 dossiers gagnants : logo_OpenIsegVI.png
LES OENOEXPLORATEURS - Bordeaux
HEAT ME UP - Bordeaux
Big Deal - Lille
Skills Sharing - Lille
La Salopette - Lyon
Family 2,0 - Nantes
BRIGITTE - Paris
Custom my art - Paris
Miam miam box - Paris
ISING - Toulouse

Les dix dossiers finalistes participeront au Grand Oral qui aura lieu le mercredi 20 mai dans l'amphi du campus de Paris de 10H à 12H45.


Le Grand Jury sera composé de :

  • Xavier Charpentier, Directeur Général Associé de Freethinking
  • François Chevallier, Responsable Département Marché des Particuliers et du Patrimonial de La Banque Populaire Rives de Paris
  • Arnaud Collin du Bocage, Senior Banker chez BNP Paribas
  • Sylvain Denizot, Partner at FINOMEN
  • Marc Drillech, Directeur Général de IONIS Education Group
  • Chrystèle Mercier, Directrice Déléguée de L'Etudiant
  • Rémy Peugniez, Directeur de Hartmann France
  • Charles Rambeau, Directeur Associé de Tout Le Monde Aime Les Pingouins

Chaque équipe disposera de 10 minutes pour présenter son dossier, de la manière qu'elle le souhaite.
La délibération se fera le jour même mais les résultats seront tenus top secrets jusqu'à la Remise des Prix qui se déroulera le vendredi 5 juin 2015 au Théâtre du Châtelet.

Merci à tous les participants et bonne chance aux finalistes.

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